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Les sites naturels

La vallée du Madet

Vallée creusée dans les massifs grani­tiques du Bas-Livradois, elle offre un paysage surpre­nant aux portes de Billom et de la Limagne.

La tradi­tion popu­laire conserve forte­ment ancré le souvenir des rassem­ble­ments drui­diques dans ces lieux propices : "la Pierre des Fées" qui serait soit des vestiges de céré­mo­nies celtes, soit des phéno­mènes naturels.

21/04/07 - LIVRADOIS - PUY DE DOME - FRANCE - Photo Jerome CHABANNE

C’est au XVIIIe siècle et au début du XXe siècle que cette vallée connut l’apogée de son acti­vité : l’eau qui permit la construc­tion de nombreux moulins (vestiges).

Parcourir la vallée du Madet, c’est égale­ment la possi­bi­lité de décou­vrir plusieurs ponts dont celui des pirins, le plus ancien, de style roman.

Une asso­cia­tion "La Vallée du Madet" a été créée afin de sauve­garder et valo­riser ce site naturel.

Les gorges du Miodet

Le Miodet traverse ou jouxte entre autres les communes de Saint-Jean-des-Ollières, de Saint-Dier-d’Auvergne et d’Estandeuil. Cette rivière de première caté­gorie pisci­cole est peuplée de salmo­nidés, de truites fario blanches, d’écrevisses à pattes blanches.

L’étang des Maures

Etang des Maures - Isserteaux - Daniel Debost 

Le nom vien­drait du nom latin de la famille de Montmorin : « monte maurino » et non de la présence d’arabes en ces lieux !
L’étang des Maures aurait été aménagé par les Montmorin au XIVe siècle et utilisé comme pêcherie. Par ailleurs, un système d’écluses permet­tait à la seigneurie de contrôler le débit de l’eau. Les moulins installés en contrebas le long du ruis­seau dépen­daient donc du bon vouloir des Montmorin. Il en existe 2 types : ceux pour moudre le grain et ceux pour mailler le chanvre. Produire du pain est essen­tiel car cet aliment est la base de l’alimentation de la société médié­vale. La culture du chanvre quant à elle est une acti­vité pros­père, grâce aux diverses utili­sa­tions de ses fibres, qui restera jusqu’au XIXe siècle.
Le chanvre d’Auvergne était plus que réputé. Son utili­sa­tion était exclu­sive à la corderie royale de Rochefort qui équi­pait en cordage tous les bâti­ments de la Marine depuis le XVIIe siècle jusqu’en 1926.
L’étang des Maures aurait été aménagé par les Montmorin au XIVe siècle et utilisé comme pêcherie. Par ailleurs, un système d’écluses permet­tait à la seigneurie de contrôler le débit de l’eau. Les moulins installés en contrebas le long du ruis­seau dépen­daient donc du bon vouloir des Montmorin. Il en existe 2 types : ceux pour moudre le grain et ceux pour mailler le chanvre. Produire du pain est essen­tiel car cet aliment est la base de l’alimentation de la société médié­vale. La culture du chanvre quant à elle est une acti­vité pros­père, grâce aux diverses utili­sa­tions de ses fibres, qui restera jusqu’au XIXe siècle.
Le chanvre d’Auvergne était plus que réputé. Son utili­sa­tion était exclu­sive à la corderie royale de Rochefort qui équi­pait en cordage tous les bâti­ments de la Marine depuis le XVIIe siècle jusqu’en 1926.

Le Gros Turluron

21/04/07 - COMTE BILLOMOISE - PUY DE DOME - FRANCE - Photo Jerome CHABANNE

Le Gros Turluron forme un neck volca­nique isolé domi­nant un paysage de culture. Sur ses pentes, on rencontre un coteau sec recou­vert pour partie de pelouses calcaires et de forma­tions origi­nales domi­nées par le buis ainsi que de larges boise­ments spon­tanés de chênes et d’acacias. Sur le versant nord, s’élève une belle chênaie char­maie avec quelques hêtres relic­tuels (Cf. photo cides­sous). La douceur du climat a favo­risé l’implantation du Bruant ortolan (oiseau), de l’Azuré des Coronilles et du Grand Nègre des Bois (papillons) et de la Trigonelle de Montpellier (plante herbacée).

Les étangs de la Molière


Triton Alpestre
Auteur : Didier Weemaels

A Glaine-Montaigut et Neuville, les années 1920 ont marqué le début de l’exploitation de carrières d’argile et de sable pour la fabri­ca­tion de tuiles et de carre­lages. Cette acti­vité a atteint son apogée dans les années 1960, l’entreprise comp­tant alors une tren­taine d’ouvriers, avant de s’achever en 1985. Les fossés se remplirent alors d’eau pour former les étangs de La Molière. Ceux-ci consti­tuent aujourd’hui des milieux natu­rels de grand intérêt écolo­gique (prairie maigre de fauche, forêt mixte, forêt allu­viale, lande sèche, eaux oligo­me­so­trophes) et recèlent quelques espèces rares ou remar­quables comme le Lucane Cerf-Volant ou comme de nombreuses espèces d’amphibiens en déclin sur le terri­toire fran­çais (Sonneur à ventre jaune, Triton crêté, Triton palmé, Triton alpestre, Rainette, Grenouille rousse, Grenouille agile et Salamandre).

Le puy de Pileyre


Ophrys bécasse

Le puy de Pileyre fait partie des nombreux puys volca­niques de la plaine de la Limagne. Il se situe sur les communes de Chauriat et de Vertaizon. Ce pic qui émerge au milieu des champs cultivés de la Limagne a été classé site Natura 2000 parce qu’il héberge des habi­tats natu­rels et des espèces devenus rares à l’échelle euro­péenne (comme les orchidées).

Depuis le Puy de Pileyre, appré­ciez la vue sur Pierre sur Haute, point culmi­nant du Forez.